Nike Requin Trois semaines après le début des frappes saoudiennes sur le Yémen, l'Iran a présenté une offre pour tenter de mettre fin au conflit. L'ONU a voté mardi un embargo sur les armes à destination des Houthis.
De notre correspondante au Caire
L'Iran joue aux médiateurs. Trois semaines après le début des frappes sur le Yémen menées par l'Arabie saoudite, Téhéran se propose de résoudre le conflit opposant les Houthistes, soutenus par la République islamique, et les sunnites épaulés par le royaume saoudien. L'offre, présentée ce mardi par son ministre des Affaires étrangères, se décline en quatre points: un cessez-le-feu, une assistance humanitaire, l'ouverture d'un dialogue national entre les différentes communautés du pays, et la constitution d'un gouvernement représentatif élargi. «Le problème doit être résolu par les Yéménites. Nike Shox L'Iran et l'Arabie saoudite doivent se parler, mais nous ne pouvons discuter pour déterminer l'avenir du Yémen», a précisé Mohammad Javad Zarif, lors d'une conférence de presse à Madrid, où il est actuellement en déplacement.
Le chef de la diplomatie iranienne a également saisi l'occasion pour réaffirmer l'opposition de son pays aux frappes aériennes contre les rebelles houthistes, accusés par Riyad d'être soutenus par l'Iran. Profitant du chaos politique de l'après-révolution, ces derniers se sont emparés de la capitale, Sanaa, en septembre, avant de mettre plus récemment le cap sur le grand port d'Aden, et de pousser le président Abd Rabbo Mansour Hadi à fuir le pays.
Embargo sur les armes
Le conflit, d'abord motivé par des luttes de pouvoir internes s'est, Tn
Pas Cher de l'avis des experts, rapidement transformé en une «guerre par procuration entre l'Iran chiite et l'Arabie saoudite sunnite».
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