mardi 22 septembre 2015

Nike Tn Pas Cher Les médicaments sans ordonnance à surveiller

Les effets indésirables des médicaments tels que la prise de poids ou les éruptions cutanées peuvent devenir nos pires ennemis. Et les médicaments sans ordonnance ne sont pas épargnés. L'aspirine, l'un des médicaments les plus consommés dans le monde,Nike Tn Pas Cher soulage douleurs, fièvre et inflammations, mais au prix de nombreuses hémorragies et de milliers de morts. Tous les AINS (anti-inflammatoires nonstéro?diens), dont fait aussi partie l'ibuprofène, entra?nent des risques non négligeables. Le Pr René-Marc Flipo, rhumatologue, rappelait récemment qu'ils sont à l'origine de près du quart des accidents liés aux médicaments et responsables chaque année en France de plus de décès que le sida ! Leurs risques digestifs sont classiques (nausées et br?lures d'estomac, pouvant aller jusqu'à l'ulcère), mais ils peuvent aussi altérer le bon fonctionnement des reins (notamment chez les personnes agées ou en cas de déshydratation) et augmenter le risque d'infarctus. à éviter donc à fortes doses et sur de longues périodes. Risques du surdosage... On recommande de préférer le paracétamol en automédication. Ce qui ne veut pas dire qu'il est inoffensif ! D'une part,Chaussure Air Max lorsqu'il est fortement dosé, il devient toxique pour le foie. D'autre part, certaines personnes ne respectent pas la posologie et se retrouvent à l'h?pital à cause d'un surdosage. Ce qui n'est pas si rare, car on peut aussi consommer, sans le savoir, plusieurs spécialités qui contiennent du paracétamol (l'Actifed?,nike air rift garcon par exemple, en contient aussi). D'où l'intérêt de bien lire la composition de médicaments. Attention aussi aux remèdes contre le rhume. Sur les 33 spécialités scrutées par le mensuel ? 60 millions de consommateurs ?,Nike Air Max Tn 14 se sont révélées potentiellement dangereuses, parmi lesquelles des antihistaminiques et surtout des vasoconstricteurs,nike air rift indonesia susceptibles d'induire troubles cardiaques,Nike Ninja neurologiques et digestifs. Entre 2007 et 2011, un patient est mort et sept ont gardé des séquelles graves après l'utilisation de décongestionnants pour le nez.


 

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